Le Monde des séries

[nunu]

De toute facon avec Steve Buscemi t'es rarement decu. Ce type en plus d'etre un super acteur a une vraie gueule comme il en existe encore peu

[vox populi]

J'ai vu Disclaimer. Ce que j'ai le plus aimé, c'est l'actrice blonde — incroyablement sensuelle. Franchement, j'ai kiffé les scènes de sexe.

Par contre, pour le reste… Ça semble bien fait à première vue, mais dès qu'on gratte un peu, on se rend compte que la série ne tient pas debout. Je vous laisse découvrir pourquoi, mais honnêtement, les incohérences sautent aux yeux.

Bref, ça se regarde… mais on finit forcément frustré.

Sinon dire que dans cette série est (post) féministe et que les hommes y sont des lâches ou des imbéciles : ce n’est même plus un spoil, c’est juste devenu le politiquement correct du moment.
C'est fou comme il faut toujours crée un méchant dans la vie : Les hommes, les musulmans, les riches, les Russes, Les chômeurs, les juifs.. il faut toujours quelqu'un a détesté, à réduire à ce qu'il peut être de pire. Sur n'importe quel sujet il faut un méchant et un gentil
Il n'y a que la tête du bouc émissaire qui change selon votre environnement mais le processus reste exactement le même.

[Elie Köpter]

Ai fini la deuxième saison de 1923.
Saga bien sympa à suivre, malgré quelques ficelles pas toujours du meilleur goût dans le scénario.
Timothy Dalton en richissime enculé est très bon, mais pourquoi ça et là lui avoir ajouté un caractère de pervers sadique ?
Pour montrer quelques scènes de cul et faire de cette série quelque chose d'un peu plus sulfureux ?
J'ai trouvé ça moyen et dégradant parfois pour les actrices. Et cela n'apporte pas grand chose de plus au scénario.
Sinon, le traitement de chaque épisode avec un focus alternatif sur chaque personnage est bien fait, cela permet de rythmer sans en perdre le fil.

Harrison Ford joue sobre, bourru, Helen Mirren en matriarche est toujours aussi talentueuse.
Brandon Sklenar, beau comme un Brad Pitt dégage une virilité nonchalante et séduisante.
Pas de troisième saison et c'est peut-être pas plus mal. Faut savoir s'arrêter au bon moment.
Et puis les blancs sont bien souvent des salauds .

[bibabeuloula]

Les autres saisons ça allait mais celle-là franchement c'est du baclé, pas une seconde sans qu'il ne leur arrive une couille, c'est un peu beaucoup trop, très moyennos

[lienard]

Les autres saisons ???

Il n'y eu que deux saisons en tout et vu la fin, il n'y en aura pas de 3ème.

[bibabeuloula]

Oui, erreur l'autre saison la dernière

[Algernon]

Une friandise : nouvelle saison de Love Death + Robots

[vox populi]

Disposant d'un peu plus de temps depuis quelques semaines, j'en profite pour regarder des séries que j'avais mises de côté au moment de leur sortie, dont Feud : Les trahisons de Truman Capote. La série explore le moment où Truman Capote, roi de la jet-set new-yorkaise, s'est mis à dos le club des femmes les plus puissantes d'Amérique à cause d'un livre dans lequel il évoque leurs mœurs légères.
La réalisation est magnifique, signée Gus Van Sant pour la plupart des épisodes. Quant au jeu d'acteur, il est absolument remarquable.
Concernant la qualité intrinsèque de la série, il y a de très hauts moments et quelques bas, durant lesquels l'histoire se traîne un peu en longueur, mais on pardonne tout quand on arrive à l’épisode 7, l'apothéose de la série.

Le vrai personnage central de cette fresque n’est pas, selon moi, Truman Capote, qui donne finalement ici l’image de quelqu’un d’assez superficiel. La personne qui vous arrache le cœur, c’est Babe Paley, femme du plus grand magnat de la presse des années 70 et 80 aux États-Unis. Babe Paley n’avait qu’un seul ami dans sa vie : Truman. Lorsque ce dernier l’a trahie, elle apprend en même temps sa maladie.

Dès le début, elle a tout pardonné à Truman, mais elle n’ose pas faire le premier pas pour revenir vers lui, car elle sait que toutes ses amies de la haute société ne lui pardonneraient pas. Elle se trouve alors devant un dilemme : casser son image de perfection et de rectitude pour suivre l’élan de son cœur, ou rester à sa place, jusqu’à la fin.

L’actrice qui joue Babe est absolument géniale, et l’épisode 7, le bien nommé "magnifique Babe" vous fera chialer comme une madeleine. (D’où vient cette expression étrange, d’ailleurs ?)

[nunu]

L’actrice qui joue Babe est absolument géniale

Elle ne joue pas comme un cochon

[vox populi]

L’actrice qui joue Babe est absolument géniale

Elle ne joue pas comme un cochon

[Elie Köpter]

Alors, autant j'avais été plutôt emballé par la première saison, là je suis refroidi . Merde , déçu


C'est long parfois bavard, avec des moments confus dans les manigances et manipulations politiques (pas compris pourquoi Stellan Skarsgård change de coiffure de temps à autres...), quelques moments épiques mais pas tant que ça.
Et surtout, les personnages qui manquent de charisme, Diego Luna dans le rôle de Cassian semble paumé et joue mollement.
Forrest Withaker fait quelques fugaces apparitions. Seul Ben Mendelsohn s'en tire bien. Et le droide
Jolie coquille mais passablement vide.

[nunu]

pas compris pourquoi Stellan Skarsgård change de coiffure de temps à autres...),

PEut etre aprce que ca se passe sur plusieurs année suivant l'arc d'épisode de la saison et que chez eux aussi ils ont des coiffeurs. Ya un an d'écart entre les arcs. C'est la seule expication que je vois

[Algernon]

Alors, autant j'avais été plutôt emballé par la première saison, là je suis refroidi . Merde , déçu
C'est long parfois bavard, avec des moments confus dans les manigances et manipulations politiques (pas compris pourquoi Stellan Skarsgård change de coiffure de temps à autres...), quelques moments épiques mais pas tant que ça.
Et surtout, les personnages qui manquent de charisme, Diego Luna dans le rôle de Cassian semble paumé et joue mollement.
Forrest Withaker fait quelques fugaces apparitions. Seul Ben Mendelsohn s'en tire bien. Et le droide
Jolie coquille mais passablement vide.

Pareil tout comme toi. J'ai laissé choir.
Rien que cette scène, ça m'a saoulé grave.