Les reprises et leurs originales.
Re: Les reprises et leurs originales.
La chanson est de McCartney, offerte certes a Badfinger par Paul. Alors on se base sur quoi pour juger laquelles est l'originale et la reprise ? L'enregistrement ?
A ce compte la I Wanna be your man est des Stones
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Re: Les reprises et leurs originales.
Oui effectivement, il y a des cas où c'est très complexe.
Autre exemple : "Hush" écrite par Joe South pour Billy Joe Royal en 1967, mais rechanté par lui même en 1969 avec un arrangement plus proche de ce qu'il avait imaginé au départ (déçu par les versions précédentes de BJR, Kris If et Deep Purple).

Autre exemple : "Hush" écrite par Joe South pour Billy Joe Royal en 1967, mais rechanté par lui même en 1969 avec un arrangement plus proche de ce qu'il avait imaginé au départ (déçu par les versions précédentes de BJR, Kris If et Deep Purple).
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Re: Les reprises et leurs originales.
Un titre que j'ai énormément écouté quand j'étais ado sans jamais prendre le temps de m'intéresser à l'original
The Geraldine Fibbers - Fancy
Et plus tard, j'ai quand même découvert Bobbie Gentry.
The Geraldine Fibbers - Fancy
Et plus tard, j'ai quand même découvert Bobbie Gentry.

Re: Les reprises et leurs originales.
Belle reprise, c'est vrai, avec ce final en Oooh-Oooh, clin d'oeil à "Sympathy for the Devil" 

Joyeux Noël Félix !
Re: Les reprises et leurs originales.

Re: Les reprises et leurs originales.
Every Night de Human Expression
Reprise en 1986 par Last Drive
Reprise en 1986 par Last Drive
"A force de frapper l'enclume, de regarder passer les lunes, tu sais parler de nos aïeux comme s'ils n'avaient jamais été vieux ..."
Christian Decamps
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Re: Les reprises et leurs originales.
Sympa la version des Last Drive ! Même si je préfère la mélancolie de l'originale.
Vibravoid ont fait une reprise du groupe aussi, Optical Sound.
C'est d'ailleurs certainement comme ça que j'avais découvert les Human Expression !
Vibravoid ont fait une reprise du groupe aussi, Optical Sound.
C'est d'ailleurs certainement comme ça que j'avais découvert les Human Expression !
Le 106 mars, le millième doudou vivant a été certifié par l'Office informel des enfants crédibles.
Alain Damasio
Alain Damasio
Re: Les reprises et leurs originales.
Très sympa également, Je ne connaissais pas Vibravoid ... Je vais essayer de trouver du temps pour approfondir la chose ...

Human Expression est tout de même une belle énigme, quelques singles de grande classe et aucun album, vraiment du gâchis ...
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Re: Les reprises et leurs originales.
Aucun album mais une bien belle compilation d'une bonne partie de leurs titres (voire tous ?), sortie chez Mississipi Rds / Moi J'connais Rds.
Le 106 mars, le millième doudou vivant a été certifié par l'Office informel des enfants crédibles.
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Re: Les reprises et leurs originales.
oui c'est celle que j'ai, mais c'est étrange qu'ils n'aient aucun vrai album. Bon on va pas refaire l'histoire mais c'est pas courant ...

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Re: Les reprises et leurs originales.
Il est difficile d'imaginer une femme menaçant Dolly Parton, même une rousse ardente avec des yeux vert émeraude. Mais c'est l'histoire derrière le succès de Dolly Parton en 1973, Jolene, dans laquelle une femme en supplie une autre de ne pas lui voler son homme. C'est aussi une chanson universellement populaire avec au moins 30 reprises bien connues.
Jolene est basée sur des événements réels de la vie de Dolly Parton. La chanson a été principalement inspirée par une caissière de banque aux cheveux roux qui a flirté avec son mari au début de leur mariage.
Mais le nom Jolene a en fait été inspiré par une autre rousse: une jeune fille de 8 ans qu'elle a rencontrée dans la ligne d'autographes lors d'un de ses concerts.
"J'ai dit : Eh bien, tu es la plus jolie petite chose que j'aie jamais vue vu. Alors, comment tu t'appelles? Et elle a dit: Jolene. Et j'ai dit: Jolene... C'est joli. Cela ressemble à une chanson. Je vais écrire une chanson à ce sujet".
Jolene est basée sur des événements réels de la vie de Dolly Parton. La chanson a été principalement inspirée par une caissière de banque aux cheveux roux qui a flirté avec son mari au début de leur mariage.
Mais le nom Jolene a en fait été inspiré par une autre rousse: une jeune fille de 8 ans qu'elle a rencontrée dans la ligne d'autographes lors d'un de ses concerts.
"J'ai dit : Eh bien, tu es la plus jolie petite chose que j'aie jamais vue vu. Alors, comment tu t'appelles? Et elle a dit: Jolene. Et j'ai dit: Jolene... C'est joli. Cela ressemble à une chanson. Je vais écrire une chanson à ce sujet".
Re: Les reprises et leurs originales.
L'occasion pour moi d'en remettre une couche avec Geraldine Fibbers.juthova a écrit : ↑ven. 10 avr. 2020 14:32Il est difficile d'imaginer une femme menaçant Dolly Parton, même une rousse ardente avec des yeux vert émeraude. Mais c'est l'histoire derrière le succès de Dolly Parton en 1973, Jolene, dans laquelle une femme en supplie une autre de ne pas lui voler son homme. C'est aussi une chanson universellement populaire avec au moins 30 reprises bien connues.
Jolene est basée sur des événements réels de la vie de Dolly Parton. La chanson a été principalement inspirée par une caissière de banque aux cheveux roux qui a flirté avec son mari au début de leur mariage.
Mais le nom Jolene a en fait été inspiré par une autre rousse: une jeune fille de 8 ans qu'elle a rencontrée dans la ligne d'autographes lors d'un de ses concerts.
"J'ai dit : Eh bien, tu es la plus jolie petite chose que j'aie jamais vue vu. Alors, comment tu t'appelles? Et elle a dit: Jolene. Et j'ai dit: Jolene... C'est joli. Cela ressemble à une chanson. Je vais écrire une chanson à ce sujet".
![Dan.San :]](./images/smilies/8.gif)
Re: Les reprises et leurs originales.
La légende veut qu'il a imaginé cette chanson en 1964, à l’occasion d’un déjeuner chez sa grand-mère. Elle évoque sa rencontre avec une assistante de son dentiste, comme Christophe l’a révélé dans Lui. Il s'agissait d'Aline Natanovitch, une Polonaise qui le jour était assistante dentaire boulevard Montparnasse et la nuit tenait le vestiaire de l’Orphéon Club, un club parisien dans lequel le chanteur se produisait.
Ecrite une nuit de juillet 1965 au prix d’une crise de claustrophobie, la rengaine fond trois sources. D’une part, l’empreinte sexuelle d’une petite placeuse de cinéma «à bas résille» qui, un jeudi après-midi, accompagne le jeune Christophe (presque 13 ans) chez sa grand-mère - «placeuse» qui, dans la foulée, sera «okay pour un tour d’amour dans la chenille de la fête foraine au bord de la Seine, à Draveil». D’autre part, le souvenir des castelets hebdomadaire, dans la salle à manger grand-maternelle : les «castelets», féeries théâtrales buissonnières mobilisant douze marionnettes à têtes de linottes en pâte à modeler fichées sur des «crayons à mine», sont «préparés à l’école, les scénarios écrits pendant le cours de géographie». Enfin, la mémoire «fétiche» des travaux de haute couture de la mère du chanteur.
Ce slow contient toutes les caractéristiques du genre : l'orgue aux échos presque funèbres, la basse qui contient toute la tension, et les chœurs rococo qui accompagnent la voix désespérée de l'artiste. Les paroles, signées Jean-Michel Jarre, mettent en scène un jeune homme qui n'arrive pas à déclarer à voix haute ses sentiments. Cliché sans être mielleux, l'auteur d'Oxygène réussit ici à ne pas tomber dans les poncifs nunuches de la chanson d'amour.
Cette romance de séducteur sortie en single hors album reste un des slow les plus appréciés des années 80.
Dans ma veste de soie rose / Je déambule morose / Le crépuscule est grandiose… Qui d’autre imagine-t-on égrener ces vers de mirliton avec une telle solennité rêveuse ? "Un peu dandy, un peu maudit…", Christophe est parfait dans le rôle, son look se fixe, cheveux longs mais soignés, moustache hors d’âge, smoking de crooner ou blouson de rocker. La mélodie des Paradis résonnera longtemps sous de nombreuses lunes, écho frenchy du Bryan Ferry des morceaux lents de Roxy Music. Sans ironie, malgré ce curieux changement de voix au refrain. Une splendeur.
Thème au violon arabisant, tempo qui semble épouser la montée des étages. Historiettes croisées des locataires d’un immeuble inquiétant, non-situé. Peut-être seulement le fruit de l’imagination délirante du narrateur. Qui n’hésite pas à se déguiser en une variété mutique de concierge : « Je vois tout, j’entends tout, mais je ne dis jamais rien. » Paroles de Gilles Thibaut, qui œuvra beaucoup pour Johnny Hallyday et Claude François. Premier d’une liste d’auteurs amenés à traduire en mots les obsessions du chanteur. Ici la folie guette dans l’escalier, et ce 45-tours-là rata les marches du hit-parade.
Ici on touche un point limite du spectre. En ce temps-là (mid-70’s), un amateur de rock eût préféré mourir plutôt que d’écouter un type chantant du Barbelivien. Seuls des oiseaux rares tel Gérard Manset présentaient le sérieux nécessaire – plus tard on apprendrait que ledit Manset fréquentait lui aussi Didier Barbelivien. Petite fille du soleil est sans doute une babiole variétesque au dernier degré. N’empêche. La mélodie simplissime. La voix qui se coule dans les inflexions du piano. Maintenant que le puzzle est complet, on peut penser que le dialogue avec un Barbelivien était plus naturel à Christophe que ses échanges avec Alan Vega en anglais de cuisine, quand bien même admiratifs. La plus banale peut-être de ce palmarès, Petite fille du soleil reste une grande chanson de Christophe, version latine.
Ballade nostalgique pour les beaux yeux d'Elsa...
Ecrite une nuit de juillet 1965 au prix d’une crise de claustrophobie, la rengaine fond trois sources. D’une part, l’empreinte sexuelle d’une petite placeuse de cinéma «à bas résille» qui, un jeudi après-midi, accompagne le jeune Christophe (presque 13 ans) chez sa grand-mère - «placeuse» qui, dans la foulée, sera «okay pour un tour d’amour dans la chenille de la fête foraine au bord de la Seine, à Draveil». D’autre part, le souvenir des castelets hebdomadaire, dans la salle à manger grand-maternelle : les «castelets», féeries théâtrales buissonnières mobilisant douze marionnettes à têtes de linottes en pâte à modeler fichées sur des «crayons à mine», sont «préparés à l’école, les scénarios écrits pendant le cours de géographie». Enfin, la mémoire «fétiche» des travaux de haute couture de la mère du chanteur.
Ce slow contient toutes les caractéristiques du genre : l'orgue aux échos presque funèbres, la basse qui contient toute la tension, et les chœurs rococo qui accompagnent la voix désespérée de l'artiste. Les paroles, signées Jean-Michel Jarre, mettent en scène un jeune homme qui n'arrive pas à déclarer à voix haute ses sentiments. Cliché sans être mielleux, l'auteur d'Oxygène réussit ici à ne pas tomber dans les poncifs nunuches de la chanson d'amour.
Cette romance de séducteur sortie en single hors album reste un des slow les plus appréciés des années 80.
Dans ma veste de soie rose / Je déambule morose / Le crépuscule est grandiose… Qui d’autre imagine-t-on égrener ces vers de mirliton avec une telle solennité rêveuse ? "Un peu dandy, un peu maudit…", Christophe est parfait dans le rôle, son look se fixe, cheveux longs mais soignés, moustache hors d’âge, smoking de crooner ou blouson de rocker. La mélodie des Paradis résonnera longtemps sous de nombreuses lunes, écho frenchy du Bryan Ferry des morceaux lents de Roxy Music. Sans ironie, malgré ce curieux changement de voix au refrain. Une splendeur.
Thème au violon arabisant, tempo qui semble épouser la montée des étages. Historiettes croisées des locataires d’un immeuble inquiétant, non-situé. Peut-être seulement le fruit de l’imagination délirante du narrateur. Qui n’hésite pas à se déguiser en une variété mutique de concierge : « Je vois tout, j’entends tout, mais je ne dis jamais rien. » Paroles de Gilles Thibaut, qui œuvra beaucoup pour Johnny Hallyday et Claude François. Premier d’une liste d’auteurs amenés à traduire en mots les obsessions du chanteur. Ici la folie guette dans l’escalier, et ce 45-tours-là rata les marches du hit-parade.
Ici on touche un point limite du spectre. En ce temps-là (mid-70’s), un amateur de rock eût préféré mourir plutôt que d’écouter un type chantant du Barbelivien. Seuls des oiseaux rares tel Gérard Manset présentaient le sérieux nécessaire – plus tard on apprendrait que ledit Manset fréquentait lui aussi Didier Barbelivien. Petite fille du soleil est sans doute une babiole variétesque au dernier degré. N’empêche. La mélodie simplissime. La voix qui se coule dans les inflexions du piano. Maintenant que le puzzle est complet, on peut penser que le dialogue avec un Barbelivien était plus naturel à Christophe que ses échanges avec Alan Vega en anglais de cuisine, quand bien même admiratifs. La plus banale peut-être de ce palmarès, Petite fille du soleil reste une grande chanson de Christophe, version latine.
Ballade nostalgique pour les beaux yeux d'Elsa...
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Re: Les reprises et leurs originales.
Oui je plussois. 
Très bel article.

Très bel article.

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Re: Les reprises et leurs originales.
Très belle chanson ... Et quelque soit la version, les paroles ont toujours le même impacte ... Peut être même un peu plus dans la version originale qui ne finie pas dans une sorte de colère/rage ... Enfin bref ... Très belle chanson.juthova a écrit : ↑mer. 8 avr. 2020 08:11Fancy ou l'histoire d’une gamine que sa mère pousse à faire carrière en étant “gentille avec les messieurs”. Destin finalement proche de celui de Bobbie Gentry elle-même, vouée à satisfaire les appétits de producteurs acharnés à mouler son tempérament de conteuse régionaliste dans des arrangements fendus haut sur la cuisse.
Modifié en dernier par Le Vieil Ours le mar. 21 avr. 2020 15:20, modifié 1 fois.
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Re: Les reprises et leurs originales.
@ Pablitta @ Le Vieil Ours
Il a suffit de 3’30 de bonheur pour que David Jones devienne enfin David Bowie. Nous sommes le 6 juillet 1972, pendant la fameuse émission anglaise « Top of the Pops », un groupe d’extra-terrestres déboule sans prévenir, provocateur, interprète une chanson venue d’ailleurs : Starman. Un certain David Bowie, avide de succès et de reconnaissance vient de sortir son nouvel album : The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars. Il est entouré d’une belle bande de dézingués. Et il va jouer, maquillé et habillé tel qu’on ne l’a jamais vu à la télévision. Du jour au lendemain, toute une génération subjuguée, aime avec passion Bowie, imite Bowie et souhaite être Bowie !
Et pour le kiff

Il a suffit de 3’30 de bonheur pour que David Jones devienne enfin David Bowie. Nous sommes le 6 juillet 1972, pendant la fameuse émission anglaise « Top of the Pops », un groupe d’extra-terrestres déboule sans prévenir, provocateur, interprète une chanson venue d’ailleurs : Starman. Un certain David Bowie, avide de succès et de reconnaissance vient de sortir son nouvel album : The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars. Il est entouré d’une belle bande de dézingués. Et il va jouer, maquillé et habillé tel qu’on ne l’a jamais vu à la télévision. Du jour au lendemain, toute une génération subjuguée, aime avec passion Bowie, imite Bowie et souhaite être Bowie !
Et pour le kiff
- Romulien
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Re: Les reprises et leurs originales.
Au Québec Jolene est devenue...juthova a écrit : ↑ven. 10 avr. 2020 14:32Il est difficile d'imaginer une femme menaçant Dolly Parton, même une rousse ardente avec des yeux vert émeraude. Mais c'est l'histoire derrière le succès de Dolly Parton en 1973, Jolene, dans laquelle une femme en supplie une autre de ne pas lui voler son homme. C'est aussi une chanson universellement populaire avec au moins 30 reprises bien connues.
Jolene est basée sur des événements réels de la vie de Dolly Parton. La chanson a été principalement inspirée par une caissière de banque aux cheveux roux qui a flirté avec son mari au début de leur mariage.
Mais le nom Jolene a en fait été inspiré par une autre rousse: une jeune fille de 8 ans qu'elle a rencontrée dans la ligne d'autographes lors d'un de ses concerts.
"J'ai dit : Eh bien, tu es la plus jolie petite chose que j'aie jamais vue vu. Alors, comment tu t'appelles? Et elle a dit: Jolene. Et j'ai dit: Jolene... C'est joli. Cela ressemble à une chanson. Je vais écrire une chanson à ce sujet".
Sylvie Bassaraba-Avec l'amour
Modifié en dernier par Romulien le lun. 6 juin 2022 01:45, modifié 1 fois.
Re: Les reprises et leurs originales.
Pas pour toutes les oreilles
Motörhead - Too Late Too Late - Album Overkill en 1979
Metallica en 1999 sur l'album de reprises Garage Inc.


Motörhead - Too Late Too Late - Album Overkill en 1979
Metallica en 1999 sur l'album de reprises Garage Inc.
"A force de frapper l'enclume, de regarder passer les lunes, tu sais parler de nos aïeux comme s'ils n'avaient jamais été vieux ..."
Christian Decamps
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Re: Les reprises et leurs originales.
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